Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
L'Association des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, créée en 1970, a pour but principal la promotion des études historiques médiévales. Dans cette perspective, elle organise chaque année un Colloque sur un thème déterminé et, pour manifester l'esprit de large décentralisation qui est le sien, dans une Université différente : à Saint-Étienne en 1974, à Strasbourg en 1975, à Rennes en 1976 et à Tours en 1977. Animée par M. le Professeur B. Guillemain (Bordeaux - III), l'Association a su défendre le Moyen âge et sa place dans l'enseignement du second degré. Comment concevoir en effet, une pleine compréhension des phénomènes actuels en « sautant » ou en éliminant cette longue traversée de la période-charnière de l'histoire européenne ? L'Association des historiens médiévistes tient à dire sa joie d'avoir réuni à Strasbourg, du 6 au 8 juin 1975 plus de cent des siens. Elle remercie chaleureusement les autorités universitaires de leur sympathique accueil qui, malgré l'aspect sombre du sujet (la Mort au Moyen âge), a fait de ces deux jours de juin un temps lumineux et amical. Elle exprime enfin sa gratitude à tous ses amis - Faculté des Sciences historiques, Société des Amis des Universités, Société savante d'Alsace... - pour avoir su trouver, malgré les temps difficiles, les moyens nécessaires pour publier les communications de ce Colloque qui a précisé certains éléments majeurs de la mentalité médiévale et ouvert les portes de l'espérance. F. T.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
La loi française du 9 décembre 1905, qui a prononcé la séparation des Églises de l'État, a été suivie d'autres lois et de toute une série de décrets, règlements et circulaires d'application qui constituent un ensemble assez volumineux, dans lequel on ne se retrouve pas facilement. Dans cet ouvrage préfacé par Charles Altorffer, Michel Bazoche, ancien Chef du Bureau des Cultes, reprend l'ensemble des dispositions de la législation cultuelle qui, au demeurant, perdure dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
La poésie noire américaine constitue, ainsi qu'on l'a reconnu de longue date, un élément majeur de l'expression lyrique aux États-Unis. Cette importance, elle la doit à sa vitalité et à sa valeur littéraire intrinsèque, comme à sa signification profonde, en tant qu'expression du sentiment religieux et racial du Noir américain. Pourtant, ce n'est que récemment, avec l'imposant ouvrage de Jean Wagner - dont "Les poètes noirs des États-Unis" est une version abrégée - qu'une étude d'ensemble sur les poètes noirs américains a vu le jour. "Les poètes noirs des États-Unis" s'ouvre sur une brillante introduction, dans laquelle sont esquissées l'histoire et la psychologie sociologique du Noir en Amérique, ainsi que les origines de l'expression lyrique noire, telle qu'elle se traduit dans les spirituals et les blues. Le texte comporte des analyses détaillées, et solidement documentées, de la vie et des oeuvres des poètes noirs américains de premier plan : Paul Laurence Dunbar, Claude McKay, Jean Toomer, Countee Cullen, James Weldon Johnson, Langston Hughes et Sterling Brown. D'autre part, les analyses sont illustrées, pour chacun de ces poètes, d'une sélection riche et variée de textes, dans leur traduction française. Pour le lecteur qu'intéressent la littérature et l'histoire américaines en général, et la littérature noire en particulier, "Les poètes noirs des États-Unis" constitue un indispensable ouvrage de base.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Ces « Carnets d'un naturaliste » voudraient apporter - 25 ans après Chasser sans tuer - une nouvelle contribution à la compréhension des réalités qui rattachent tout être au grand ensemble vivant. Par l'image et l'observation vécues dans des sites aussi divers que les Ried, les Hautes Vosges, les Alpes du Mercantour, les Cévennes, ou la sansouire de Camargue, ces dernières retraites où la nature peut paraître encore libre, l'auteur tente de faire partager ses joies et ses inquiétudes en face d'une évolution dangereusement dysharmonique des relations entre l'homme et son environnement. Que ce soit par l'enregistrement de chants d'oiseaux, devant la trace d'un animal, le but essentiel de ces découvertes c'est l'approche solitaire et discrète de l'inconnu dans la jungle de l'ignorance. Une approche qui ne refuse jamais la part émotionnelle des aventures, qu'elle englobe à sa manière dans la synthèse de vérités objectives. Attentes nocturnes... Par-delà son sens propre, ce générique prend valeur de symbole : en plein jour, ne sommes-nous point des aveugles ? Notre ignorance ne ressemble-t-elle pas à la nuit qui nous laisse l'espoir d'une illumination révélatrice ?
Il fallait ce beau livre, si richement illustré, précieux à plus d'un titre, pour remettre à l'honneur le peintre de Mesdames de France, dont on peut admirer le beau portrait dans le palais de Versailles. Une fois de plus, on se rendra compte que ceux qu'on a appelés des « petits maîtres » du XVIIIe siècle, méritent - plus d'une fois - de voir supprimée l'épithète par quoi on les désigne. Un livre essentiel pour l'histoire du portrait en France.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Curieuse histoire d'amour, d'aventure, d'espionnage, aux multiples rebondissements, où le côté réel côtoie l'irréel. Fiction ? Avant tout hymne à la vie. Sur la toile de fond historique rouge, noire, bleue enfin, se découpent et s'agitent les ombres alsaciennes et prussiennes de personnages imaginaires mais vrais, protagonistes du roman échafaudé à partir de quelques faits authentiques, qui se sont déroulés à une époque à jamais gravée dans l'immatérialité du temps. Juin 1913. Une famille de Haguenau. Trois frères et une soeur. Sébastien, l'aîné, avant d'entrer dans l'enseignement, va parfaire ses études d'anglais. Près de Canterbury, il rencontre une jeune femme qui croit aux signes prémonitoires. Durant son séjour outre-Manche, la situation politique internationale se dégrade. Les sages proposent et les fous disposent. Du Front de France au Front russe. Moujik mon frère. L'amour ose tout. Robert, le second, refuse la conscription. À l'insu de ses parents, il se lance dans l'espionnage. Au fond des ténèbres carcérales et du découragement, luit une nouvelle lumière. Étranges inconnues de la condition humaine. Nous les réincarnés. Rien n'est grâce. Nos stigmates ne sont pas monnayables ! Ne pas insulter nos morts. Voyage de Robert. Sans coeur, on ne peut pas vivre.
Est-ce l'histoire d'un amour ou l'histoire de l'amour ? On peut se le demander, car par delà l'épisode de la rencontre et de la passion d'Andrès et de Sybil, Charles Oulmont a écrit le vrai livre des amants et de l'amour. Toute la tendresse et l'émotion de deux êtres épris l'un de l'autre, la grande pureté des premières rencontres, la timidité du geste et de la parole et, enfin, la chaude fusion. Tout au long de ce roman, apparaissent les cheminements de pensée et les mécanismes psychologiques, souvent impitoyables, de ces deux êtres qui se sont liés l'un à l'autre. L'auteur les fait dominer dans son récit et, par là-même, provoque la réflexion du lecteur. Nous ajouterons encore, que le livre des amants est le livre de tous les amants, ceux d'hier et d'aujourd'hui, et il sera aussi le livre des amants de demain.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
L'affrontement dramatique de deux femmes, Florence et Nina, et la détresse de Gérard, partagé entre son devoir de mari et ses sentiments, encore plus vifs, d'amant, font de « Coeur à corps » un grand roman. Sera-t-il jamais sujet plus éternel que le couple ? Et pourra-t-on jamais analyser les motifs profonds qui précipitent l'un vers l'autre, l'homme et la femme ? Et pourquoi enfin faut-il, presque nécessairement, cet intense déchirement des amants avant leur union parfaite ? Une fois de plus, Charles Oulmont a écrit une belle page d'amour. En trame de fond, de belles citations des grands esprits de la Société des Nations, qui se rapprochent étrangement du sujet de « Coeur à Corps ».
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
« Tu ne condamneras point », est-il dit, et nous l'admettrons, car nous ne sommes pas habilités à juger les drames humains. « La femme adultère » est le poignant récit d'une femme déchirée entre l'amour et le devoir. Marie-des-Neiges, la fille des hautes montagnes, laisse son pays pour suivre son mari au Portugal, patrie de sa mère, mais son coeur et ses pensées resteront près de François, le montagnard. Ni la tendresse de son mari Oswaldo, ni la sollicitude éclairée du padre Francisco, son beau-frère, ni la beauté du pays, ne réussiront à apaiser son tourment. Malgré tous les malheurs que cela provoquera et l'opprobre qui fondra sur elle, Marie-des-Neiges restera pure de coeur. Rarement intensité dramatique n'a été mieux rapportée que dans ce bel ouvrage de Charles Oulmont, où le lecteur ne pourra s'empêcher de s'identifier - tour à tour - à chacun des personnages. Et faut-il encore ajouter que les merveilleuses descriptions de la haute montage - et du riant Portugal - donnent à ce récit un des plus beaux décors qui soient ?
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Peut-on, pour rendre la justice, s'improviser à la fois juge et partie ? Et jusqu'où peut aller la mansuétude du magistrat, sans se heurter à l'intérêt moral de la société qu'il représente et qui lui a délégué le pouvoir de juger ? C'est là le drame de conscience du juge, et le magistrat Thibaut Vendeuil le ressentira douloureusement avec son fils Dominique car, déchiré entre les devoirs de sa charge et son affection de père, il se trouvera placé devant un sévère dilemme. Mais est-il drame humain qui ne puisse se résoudre par la bonté et par l'amour ?
Noces en Espagne... Oui, un peu comme il y a « Châteaux en Espagne » ; noces qu'un secret ne rend pas « inarrugables », si l'on nous permet de traduire, en le francisant, ce beau mot espagnol qui se dit d'une chose ne pouvant faire plis ni rides. Et ainsi, comme nous rêvons de ces châteaux merveilleux, arrive-t-il que les Noces leur ressemblent, châteaux irréels, réels, parce qu'ils sont peuplés de fantômes, de joies et de douleurs.