Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Il fallait ce beau livre, si richement illustré, précieux à plus d'un titre, pour remettre à l'honneur le peintre de Mesdames de France, dont on peut admirer le beau portrait dans le palais de Versailles. Une fois de plus, on se rendra compte que ceux qu'on a appelés des « petits maîtres » du XVIIIe siècle, méritent - plus d'une fois - de voir supprimée l'épithète par quoi on les désigne. Un livre essentiel pour l'histoire du portrait en France.
Il fallait ce beau livre, si richement illustré, précieux à plus d'un titre, pour remettre à l'honneur le peintre de Mesdames de France, dont on peut admirer le beau portrait dans le palais de Versailles. Une fois de plus, on se rendra compte que ceux qu'on a appelés des « petits maîtres » du XVIIIe siècle, méritent - plus d'une fois - de voir supprimée l'épithète par quoi on les désigne. Un livre essentiel pour l'histoire du portrait en France.
Est-ce l'histoire d'un amour ou l'histoire de l'amour ? On peut se le demander, car par delà l'épisode de la rencontre et de la passion d'Andrès et de Sybil, Charles Oulmont a écrit le vrai livre des amants et de l'amour. Toute la tendresse et l'émotion de deux êtres épris l'un de l'autre, la grande pureté des premières rencontres, la timidité du geste et de la parole et, enfin, la chaude fusion. Tout au long de ce roman, apparaissent les cheminements de pensée et les mécanismes psychologiques, souvent impitoyables, de ces deux êtres qui se sont liés l'un à l'autre. L'auteur les fait dominer dans son récit et, par là-même, provoque la réflexion du lecteur. Nous ajouterons encore, que le livre des amants est le livre de tous les amants, ceux d'hier et d'aujourd'hui, et il sera aussi le livre des amants de demain.
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L'affrontement dramatique de deux femmes, Florence et Nina, et la détresse de Gérard, partagé entre son devoir de mari et ses sentiments, encore plus vifs, d'amant, font de « Coeur à corps » un grand roman. Sera-t-il jamais sujet plus éternel que le couple ? Et pourra-t-on jamais analyser les motifs profonds qui précipitent l'un vers l'autre, l'homme et la femme ? Et pourquoi enfin faut-il, presque nécessairement, cet intense déchirement des amants avant leur union parfaite ? Une fois de plus, Charles Oulmont a écrit une belle page d'amour. En trame de fond, de belles citations des grands esprits de la Société des Nations, qui se rapprochent étrangement du sujet de « Coeur à Corps ».
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« Tu ne condamneras point », est-il dit, et nous l'admettrons, car nous ne sommes pas habilités à juger les drames humains. « La femme adultère » est le poignant récit d'une femme déchirée entre l'amour et le devoir. Marie-des-Neiges, la fille des hautes montagnes, laisse son pays pour suivre son mari au Portugal, patrie de sa mère, mais son coeur et ses pensées resteront près de François, le montagnard. Ni la tendresse de son mari Oswaldo, ni la sollicitude éclairée du padre Francisco, son beau-frère, ni la beauté du pays, ne réussiront à apaiser son tourment. Malgré tous les malheurs que cela provoquera et l'opprobre qui fondra sur elle, Marie-des-Neiges restera pure de coeur. Rarement intensité dramatique n'a été mieux rapportée que dans ce bel ouvrage de Charles Oulmont, où le lecteur ne pourra s'empêcher de s'identifier - tour à tour - à chacun des personnages. Et faut-il encore ajouter que les merveilleuses descriptions de la haute montage - et du riant Portugal - donnent à ce récit un des plus beaux décors qui soient ?
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Peut-on, pour rendre la justice, s'improviser à la fois juge et partie ? Et jusqu'où peut aller la mansuétude du magistrat, sans se heurter à l'intérêt moral de la société qu'il représente et qui lui a délégué le pouvoir de juger ? C'est là le drame de conscience du juge, et le magistrat Thibaut Vendeuil le ressentira douloureusement avec son fils Dominique car, déchiré entre les devoirs de sa charge et son affection de père, il se trouvera placé devant un sévère dilemme. Mais est-il drame humain qui ne puisse se résoudre par la bonté et par l'amour ?
Noces en Espagne... Oui, un peu comme il y a « Châteaux en Espagne » ; noces qu'un secret ne rend pas « inarrugables », si l'on nous permet de traduire, en le francisant, ce beau mot espagnol qui se dit d'une chose ne pouvant faire plis ni rides. Et ainsi, comme nous rêvons de ces châteaux merveilleux, arrive-t-il que les Noces leur ressemblent, châteaux irréels, réels, parce qu'ils sont peuplés de fantômes, de joies et de douleurs.
A. Saenz, doyen du Corps Diplomatique en France, célèbre médecin de l'Uruguay, et faisant partie de l'équipe des plus éminents chercheurs à l'Institut Pasteur de Paris : « J'ai dévoré cette plaquette sur Pasteur. Chef-d'oeuvre par la forme et le fond. Il est réellement extraordinaire qu'un homme de lettres puisse traiter - dans une plaquette très courte - sans rien perdre de la rigueur scientifique, l'oeuvre géniale de ce bienfaiteur de l'humanité. Un biologiste n'aurait pas pu faire mieux. »
Ce ravissant ouvrage, si brillamment illustré, a fait partie de la célèbre collection « Les maîtres de l'art » entièrement épuisée. On y fera d'avantage connaissance avec des célébrités comme Vigée-Lebrun, à côté d'artistes qui, a elles seules, méritaient cet hommage, où les anecdotes voisinent avec les renseignements les plus précis et les plus nécessaires.
Peut-on véritablement jamais quitter celui à qui on a été unie par les liens du mariage ? Douloureuse question, et bien que le code ait créé certains accommodements, il n'en va pas de même - et de loin - sur le plan spirituel et sentimental. Son élan a porté la catholique Clermonde, fille de Marie-des-Neiges, vers le protestant Carlo Darmance, qui essaiera en vain de remodeler son âme, et de la mettre à l'abri de l'homme en robe noire, le prêtre catholique, pour lequel il éprouve une aversion innée. Il échouera douloureusement, mettant ainsi en faillite ses idées et ses principes, car Clermonde reviendra à son culte d'origine, et trouvera l'apaisement précisément auprès de l'homme en robe noire. Mais elle aura brisé sa vie, et celle du mari qu'elle avait quitté. « L'homme en robe noire » est un grand roman, au sens même du terme. Il repose une fois de plus la question de l'harmonie du couple mais, cette fois-ci, sous le double aspect des liens charnels et des questions de la loi. Ce livre appelle à la méditation.
Un grave conflit intérieur mène un professeur vers les chemins de lumière, en Grèce. Et il y retrouve la sérénité. Tout au long de ces pages, nous sommes témoins d'un vibrant hommage à la qualité humaine. Se plaçant d'emblée - et résolument - au-dessus des affrontements « idéologiques » et de ses querelles passionnelles, mais en proie à un grand déchirement intérieur, son propre fils étant engagé dans la chaude flambée de mai 1968, cet humaniste, ce père, retourne vers les sources authentiques. Et, la pureté de coeur et de corps retrouvée, il laisse éclater sa joie et sa tendresse, dans un élan qui est un véritable acte de foi. Charles Oulmont a vécu réellement ce voyage de Grèce, et ajoute un beau et tout nouveau livre à la série de ses écrits. « Combien j'ai admiré la jeunesse de votre esprit, votre sensibilité toujours prompte à s'émouvoir à la vue - ou à l'évocation - des choses et des événements, écrit un des plus brillants essayistes grecs, Georges Spiridaki, alors que tant de jeunes semblent avoir déjà épuisé, avant de les avoir goûtées, toutes les ressources de la vie. L'idée de fondre un beau récit romanesque, dont les racines affectives semblent profondes, avec la découverte de la Grèce, m'a paru très heureuse et extraordinairement neuve. »
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Les jours s'écoulent, paisibles, dans la communauté des douze demoiselles qui ont choisi comme lieu de retraite le château de Roselund, dans un des plus beaux décors naturels du Danemark. Chacune des vieilles filles s'y est retirée avec une plaie secrète au coeur, mais elles retrouvent - dans la vie presque monacale de Roselund - la sérénité et la joie d'un contact fraternel. Le drame couve cependant, et éclatera le jour où la veuve du professeur Karl Thorsen aura obtenu la faveur d'être admise au château pour une simple cure de repos. Longtemps refoulés, tous les sentiments de la passion et de la jalousie vont refaire surface, opposant impitoyablement les protagonistes d'un drame involontaire, dominé par la figure du grand Thorsen disparu. Mais la tourmente enfin s'apaisera, et chacune s'efforcera de reprendre son secret et de retrouver la paix perdue. Et même si la vie semble continuer à Roselund comme avant, les plaies du coeur et de l'âme s'effacent-elles jamais entièrement ?
Il faut du courage, et surtout beaucoup de probité intellectuelle à un écrivain, pour se pencher sans fard ni complaisance, ni même avec une certaine audace, sur une certaine période de son passé. Ces « Noces d'or avec mes rêves » sont, en réalité, les véritables mémoires secrets de Charles Oulmont, et on ne pourra s'empêcher de rapprocher cette oeuvre de ses trois grands romans « Adam et Ève », « Le livre des amants » et « La femme a ses raisons ». La psychanalyse du couple a toujours été l'élément préoccupant de Charles Oulmont. Mais, à la différence de ses autres romans, il n'hésite pas, dans ce livre, à se pencher sur son propre passé d'homme et d'amant, et à décrire - et même démontrer - presque impitoyablement, ses propres sentiments.
« Les lunettes de l'amateur d'objets d'art » guideront sûrement l'amateur d'objets d'art vers le bon goût, qu'il s'agisse d'art ancien ou moderne. La réédition de cet ouvrage à grand succès et qui fait autorité dans le monde des musées, dont la première publication remonte à 1926, nous a paru s'imposer encore plus à une époque où tant de gens se précipitent sur les objets d'art et, bien souvent, un peu trop aveuglément. L'auteur de l'ouvrage, Charles Oulmont, conseiller d'honneur des musées, s'est attaché à décrire et à dépeindre plusieurs grands domaines des objets d'art. Railleur et caustique, il n'épargne pas ceux pour lesquels l'art n'a qu'une valeur culturelle purement accessoire, mais il sera en revanche d'excellent conseil pour le lecteur intéressé. « Tous les goûts sont dans la nature », est-il coutume de dire. Rien n'est cependant plus inexact. Il n'y a qu'un seul goût : le bon. Les « lunettes » que vous porterez à votre tour - après la lecture de ce passionnant et divertissant ouvrage - vous le prouveront.
Charles Oulmont est un Proust vivant à la lumière du soleil, moins compliqué, moins anormal, et sachant mieux respecter - dans son style - les traditions de sa langue. C'est un des meilleurs livres depuis des mois.
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